La menagerie de verre (FR) – Theatre Odeon
The score for La Ménagerie de Verre includes an eclectic mix of music classics, such as the Andrew Sisters’ Rum and Coca Cola, Astor Piazzolla’s Libertango, Charles Trenet’s La Mer, and Debussy’s Clair de Lune. The range of influences spans from Debussy’s haunting notes to American standards, along with the recurring theme of L’Aigle Noir by Barbara. These musical choices, combined with ambient sounds of rain and subtle effects, contribute to the fragile and dreamlike atmosphere of the performance.
In addition to curating these pieces, I composed a violin sonata to underscore the pivotal scene between Laura and Jim, adding an intimate and emotional layer to their interaction. This blend of iconic music and original composition enhances the delicate, nostalgic tone of the production, amplifying the emotional weight carried by the characters.
With Isabelle Huppert, Justine Bachelet, Cyril Gueï, Antoine Reinartz
mise en scène Ivo van Hove
assistant à la mise en scène Matthieu Dandreau
traduction française Isabelle Famchon
dramaturgie Koen Tachelet
scénographie, lumière Jan Versweyveld
son et musique George Dhauw
assistant lumière François Thouret
assistant scénographie Jordan Vincent
costumes An D’Huys
assistante aux costumes Angèle Mignot
Adaptation of a violin sonate:
It is characteristically punctuated with bursts of eclectic music with varying impact, including Debussy (perhaps inspired by that “silver slipper of a moon”) sounding unusually alarming.
The guardian
Als altijd heeft Van Hove muziek onder zijn voorstelling gemonteerd – dit keer met onder meer Prince, Amerikaanse standards en het schitterende L’aigle noir van de Franse zangeres Barbara, dat het leidmotief is. In dat chanson is de zwarte adelaar een metafoor voor het wegvliegen, verdwijnen, voorgoed.
De volkskrant
La bande-son est composée de standards américains des années 50, contemporains de la date de naissance d’Ivo Van Hove. On pourrait croire à une radio qui ne s’arrête jamais. Un rideau noir tombe à chaque séquence, transformant le décor en catafalque, et annulant le passage du temps. Il y a le bruit des gouttes de pluie dans les boîtes de conserve déposées en hâte, et les ombres des personnages qui s’enlacent et fusionnent sur la paroi.
Libereation
Quant aux effets, plutôt réussis, ils sont rares : la salle inondée d’une belle lumière de lune, la pluie qui fuite dans la maison, la ménagerie de verre subtilement irradiée… et une bande-son musicale éclectique et efficace (avec en point d’orgue « L’Aigle noir » de Barbara).
Les echo